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Je vous en avais parlé dans la présentation de mes projets et objectifs de 2024 : je compte définitivement fermer mon blog Prom’Auteur et transférer tous les articles qui s’y trouvent encore ici.
L’autoédition est un sujet qui me tient vraiment à cœur, c’est pour cette raison que je n’ai pas voulu laisser tomber ces articles dans l’oubli. Je souhaite également continuer d’en parler, même une fois que tous les articles auront été transférés.
Lorsque l’on veut mettre son roman en vente sur Amazon KDP (ou autre, d’ailleurs), on regarde souvent les petits encarts blancs…
Oui, exactement, ceux-là.
On les fixe avec appréhension, crainte, terreur, panique même.
« Et si je ne mettais pas les bons mots-clés ? Et si j’en disais trop ? Et si je n’en disais pas assez ? Et si… »
Ces sept rectangles blancs nous agacent, nous narguent, nous provoquent.
« Tu écris des livres entiers et tu es totalement incapable de trouver sept pauvres petits mots de rien du tout ?! Et tu espères vendre des livres que tu as écris ?! Sérieusement ?! Allô ! Mais allô, quoi ! »
Alors on répond à la provocation.
On avance les mains vers le clavier, on pose les doigts sur les touches. On effleure leurs aspérités en espérant que les lettres s’enfonceront d’elles-mêmes. Que notre muse fera son travail.
Puis l’errance s’arrête.
On appuie sur une lettre. Deux. Trois.
On tient peut-être une idée !
Après tout, on a écrit un livre, on l’a corrigé, on a trouvé son titre, on a rédigé son résumé. On doit bien pouvoir y arriver, à trouver ces sept mots.
« Laisse-moi rire… » ricanent les vilaines cases blanches.
On s’arrête. On efface tout.
On va se resservir une tasse. On tourne en rond dans la cuisine. On revient au clavier.
De retour face à ces encarts vides qu’on fixe à s’en cramer la rétine. Ils semblent aspirer tout ce qui nous reste de créativité.
On perd espoir.
Alors on commet l’irréparable : on ferme la page et on se dit qu’on y reviendra plus tard.
Mais, plus tard, ce sera le même manège ou on mettra n’importe quoi. Ou, pire !, on ne mettra rien du tout…
Ces moments de flottement, et même de peur au début, je les ai vécus.
Mais j’ai fini par développer une méthode que je voudrais vous partager aujourd’hui.
Voici donc mes 3 étapes pour trouver de bons mots-clés pour vendre vos romans sur KDP.
Tout d’abord, je commence par réfléchir au genre de mon roman (ou à son domaine s’il s’agit de non-fiction) et je sélectionne 5 à 10 mots-clés.
Par exemple, pour Neph et Shéa, mon roman fantasy, ça donnerait :
Ensuite, je fais le tour des thèmes que j’aborde dans le roman ou des sujets quand il s’agit de non-fiction.
Toujours pour Neph et Shéa :
Et enfin, je considère le format et la langue :
Dernière astuce : je m’aide également de Babelio. Cette bibliothèque en ligne regroupe une énorme base de données de livres et compte un grand nombre d’usagers actifs.
Sur chaque fiche il y a un encart étiquettes qui regroupe les mots-clés qui définissent le livre selon la communauté.
Je cherche sur la plateforme les livres connus — qui ont beaucoup de lectures et de commentaires — qui sont dans le même registre que le mien.
Ensuite, je regarde quelles étiquettes sont présentes et pourraient être pertinentes pour mon livre.
Une fois que j’ai fait le tour de tout ça, je reprends ma liste de mots-clés, j’en sélectionne sept et je les soumets à mes bêta-lecteurs et lectrices pour avoir leur avis.
Cette technique fonctionne, mais… — parce qu’il y a malheureusement un mais — elle n’est pas parfaite, pas très précise et, surtout, elle n’écarte pas les doutes.
C’est ici que j’ai envie de vous (re)parler de la mini-formation d’Ethan et de Dimitri, Mots-clés KDP facile. Je l’ai suivie et je peux vous assurer qu’ils vont loin dans l’analyse pour vous apprendre à trouver les meilleurs mots-clés qui soient. Bien entendu, le contenu reste abordable (pas besoin d’un bac +10) avec des exemples concrets.
Ils expliquent notamment :
Autant vous dire que je vais m’empresser d’aller changer les mots-clés de mes livres sur KDP pour en ajouter…
Toutes les infos ici 👇
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