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Aujourd’hui, on parle des bandits des mers : les pirates !
Mais aussi des corsaires (les marins, pas le matériel de gaming 😉 ), des flibustiers, des forbans…
Cette envie de traiter ce sujet m’est venu il y a un petit moment, déjà, en terminant la lecture du roman Le Flibustier du froid de Ludovic Rosmorduc. En février 2016 ! Vous voyez que ça ne date pas d’hier ! En toute honnêteté, je ne sais pas pourquoi je ne vous en ai pas fait un article plus tôt puisque tout ce qui touche aux pirates m’a toujours fascinée (avec tout ce qui est magiciens, sorcières et chevaliers). Bref, c’est en voyant tous ces romans de pirates dans ma bibliothèque que l’envie de vous faire cet article est revenu !
Certains feront peut-être les yeux ronds en se demandant ce que des pirates viennent faire sur un blog de Fantasy. A iceux et icelles, j’aimerais rappeler que l’univers des pirates et de la mer regorge d’histoires, de légendes et de mythes qui sont une source intarissable d’inspiration pour écrire des récits maritimes à haute teneur en magie et en mystère. La légende du Hollandais volant n’est pas une invention de Disney, ni celle de la fontaine de jouvence ! 😉
Les pirates sont des criminels qui agissent pour leur propre compte. Ce sont des hors-la-loi qui parcourent les mers et qui pillent, violent et bien souvent tuent sans distinction. Cependant, les pirates ne se limitent pas seulement aux pillages de navire, ils attaquent parfois de petites villes côtières.
Notons que, même si l’âge d’or de la piraterie date des XVIIe et XVIIIe siècles et se pratiquait surtout dans les Caraïbes, la piraterie en elle-même existe depuis l’antiquité et s’est pratiquée partout dans le monde. Le premier âge d’or connu de la piraterie a eu lieu au Ie siècle av. J.-C. et prenait place en Méditerranée.
Du fait même de leur mode de vie, peu de pirates mangeaient à leur faim ou devenaient riches, la plupart mouraient jeunes en combat, luttes intestines ou exécutés (le plus souvent pendus). Les pirates élisaient leurs dirigeants : le capitaine (pour son savoir-faire, son audace, son autorité lors des batailles) et le quartier-maître (pour exercer un contre-pouvoir et faire régner l’ordre). En assemblée, chaque homme avait le droit à la parole et chaque membre de l’équipage, hormis les mousses et les marins pas encore totalement intégrés, avait une voix dans le vote tout comme le capitaine. Dans certains équipages pirates, il y avait un conseil : une assemblée où uniquement les officiers et artisans pouvaient siéger avec quelques marins expérimentés.
Le quartier-maître élu pouvait aussi faire entamer un procès contre le capitaine. Si le capitaine refusait le procès, il était reconnu coupable et était marronné sur une île le plus souvent. De nombreux groupes de pirates partageaient les butins obtenus en suivant un schéma préalable. Les pirates blessés au cours d’une bataille recevaient parfois une prime spéciale. Le butin pouvait être partagé de manière que le capitaine reçoive tout au plus 1,5 fois ou 2 fois plus que les autres, mais jamais plus. Cependant, ces pratiques égalitaires ne se limitaient qu’à très peu des aspects de la vie des pirates, et n’atténuaient pas réellement la rudesse de leur mœurs.
Les stéréotypes actuels du pirate, c’est-à-dire le pirate buvant du rhum et maniant le sabre d’abordage, à l’œil borgne caché par un bandeau noir et le perroquet sur l’épaule, au crochet à la main et la jambe de bois, à l’anneau dans l’oreille et pratiquant la torture, vient de la littérature d’aventure du XIXe siècle (notamment L’Île au trésor de Robert Louis Stevenson). En revanche, il est avéré que la vie à bord du bateau pirate est plus aisée que sur un bateau marchand : l’équipage est nombreux, sans contraintes horaires, avec une hiérarchie moins pesante car il obéit à un code d’honneur et à des règles démocratiques.
Le Jolly Roger (qui pourrait venir du français joli rouge), le pavillon de pirates noir ou rouge orné d’une tête de mort surmontant deux tibias entrecroisés, selon la représentation classique pouvait aussi représenter parfois des squelettes, des armes, des sabliers et parfois le capitaine lui-même (tel celui de Barbe Noire).
L’un des plus célèbres codes d’honneur de la piraterie est La chasse-partie de Bartholomew Roberts :
I. Chaque pirate pourra donner sa voix dans les affaires d’importances et aura un pouvoir de se servir quand il voudra des provisions et des liqueurs fortes nouvellement prises, à moins que la disette n’oblige le public d’en disposer autrement, la décision étant prise par vote.
II. Les pirates iront tour à tour, suivant la liste qui en sera faite, à bord des prises et recevront pour récompense, outre leur portion ordinaire de butin : une chemise de toile. Mais, s’ils cherchent à dérober à la compagnie de l’argenterie, des bijoux ou de l’argent d’une valeur d’un dollar, ils seront abandonnés sur une île déserte. Si un homme en vole un autre, on lui coupera le nez et les oreilles et on le déposera à terre en quelques endroits inhabités et déserts.
III. Il est interdit de jouer de l’argent aux dés ou aux cartes.
IV. Les lumières et les chandelles doivent être éteintes à huit heures du soir. Ceux qui veulent boire, passé cette heure, doivent rester sur le pont sans lumière.
V. Les hommes doivent avoir leur fusil, leur sabre et leurs pistolets toujours propres et en état de marche.
VI. La présence de jeunes garçons ou de femmes est interdite. Celui que l’on trouvera en train de séduire une personne de l’autre sexe et de la faire naviguer déguisée sera puni de mort.
VII. Quiconque déserterait le navire ou son poste d’équipage pendant un combat serait puni de mort ou abandonné sur une île déserte.
VIII. Personne ne doit frapper quelqu’un d’autre à bord du navire ; les querelles seront vidées à terre de la manière qui suit, à l’épée ou au pistolet. Les hommes étant préalablement placés dos à dos feront volte-face au commandement du quartier-maître et feront feu aussitôt. Si l’un d’eux ne tire pas, le quartier-maître fera tomber son arme. Si tous deux manquent leur cible, ils prendront leur sabre et celui qui fait couler le sang le premier sera déclaré vainqueur.
IX. Nul ne parlera de changer de vie avant que la part de chacun ait atteint 1000 livres. Celui qui devient infirme ou perd un membre en service recevra 800 pièces de huit sur la caisse commune et, en cas de blessure moins grave, touchera une somme proportionnelle.
X. Le capitaine et le quartier-maître recevront chacun deux parts de butin, le canonnier et le maître d’équipage, une part et demie, les autres officiers une part et un quart, les flibustiers une part chacun.
XI. Les musiciens auront le droit de se reposer le jour du sabbat. Les autres jours de repos ne leur seront accordés que par faveur.
Je pourrais vous parler des heures de la piraterie, mais si je m’écoutais, demain on y serait encore 😉
Les corsaires agissent sur lettre de marque (aussi appelée lettre de course) délivrée au nom du roi (bien souvent, ce dernier n’était pas averti). Ce papier est un document par lequel un pays reconnaît les corsaires comme étant une force militaire auxiliaire. Les corsaires agissent au service de leur pays. S’ils sont capturés, ils exhibent leurs lettres de marques, ce qui leur assure le sort d’un prisonnier de guerre et leur évite d’être pendus comme de vulgaires pirates.
Les corsaires sont tenus par leurs lettres de marque de n’attaquer exclusivement que les ennemis de leur souverain, respectant les neutres et toujours leurs propres concitoyens. En mer, il leur arrive parfois de ne pas avoir été informés de la paix survenue quelques jours auparavant et, en continuant leur activité, sont traités en pirates.
Quelques corsaires peu scrupuleux profitaient de ce papier officiel pour piller et tuer les marchands comme les pirates.
La piraterie est vieille comme le monde et existe toujours, tandis que les corsaires n’ont sévit que durant trois siècles (du XVIe au XIXe siècle).
Les corsaires faisaient la guerre selon les mêmes lois que les marins d’État, c’est-à-dire ceux de la Marine (royale puis nationale, impériale en ce qui concerne la France), mais dans un but commercial et non militaire. Ils concluent un contrat, la chasse-partie, quelques jours avant le départ. Toutes les décisions sur la destination, l’objet de l’expédition et les prises étant collectives.
Seuls le navire et sa cargaison (exception faite de la période de guerre pendant laquelle des otages sont ramenés afin qu’ils fassent un compte-rendu de l’attaque) peuvent donc faire l’objet d’une prise en guerre de course, encore faut-il que la prise ait été jugée légitime par les autorités compétentes au retour de course. Les marins ennemis sont prisonniers de guerre : ils peuvent être soit libérés à la fin des hostilités, soit échangés, ou encore libérés contre rançon.
Alors seulement, l’équipage pouvait quitter le navire et attendait le verdict du Tribunal des Prises, nécessaire avant la vente aux enchères du butin de prise.
Le résultat de la procédure était envoyé au tribunal des prises (appelé aussi Conseil des prises), dépendance de l’Amirauté qui statuait sur la légitimité des captures. La prise devait avoir été faite selon les lois de la guerre. En cas de forfaiture, traîtrise ou d’absence de Lettre de Course, le navire était rendu à ses armateurs. Ce n’est qu’une fois le jugement rendu que le corsaire pouvait procédé à la vente des cargaisons.
En France, le tissu pris n’était pas mis en vente mais détruit afin de préserver les manufactures nationales, selon une ordonnance royale.
En plus du navire, le butin de prise pouvait être très varié : fruits et légumes comme vin et eau-de-vie, sucre, poisson et viande (anchois, harengs, biscuits, bœuf, lard), cuirs, bois précieux, colorants (l’indigo), épices, café, chocolat ou, beaucoup plus rarement, sacs d’argent ou poudre d’or.
Le produit de la vente aux enchères des prises était alors partagé entre les personnes ayant collaboré à la capture de l’ennemi dans l’ordre des priorités :
À partir du XVIIe siècle, l’État se contente de droits d’enregistrement réduits afin d’encourager la prise de risque des armateurs. Le partage des prises devient alors : 2⁄3 pour l’armateur, 1⁄3 pour l’équipage.
Lors du partage de la prise entre les membres de l’équipage, des piles d’or de la hauteur d’un pied (environ 33 cm) étaient distribuées à chacun de ces membres en fonction de la hiérarchie, « prendre son pied » signifiait alors « prendre sa part de butin ». La notion de jouissance sexuelle peut être reliée au fait que les marins, après un long périple en mer, allaient dépenser leur part en compagnie de prostituées.
Les flibustiers (ou « Frère de la Côte », de l’ancien anglais « flibutor » emprunté au néerlandais « vrijbueter », proprement dit « libre faiseur de butin ») sont, d’abord des aventuriers des mers qui écumaient les côtes et dévastaient les possessions espagnoles en Amérique aux XVIe et XVIIe siècles.
Par la suite, aux XVIIe et XVIIIe siècle, les flibustiers sont des corsaires des Antilles qui allaient sus à l’Espagnol.
Les forbans (de l’ancien français « forbannir », bannir à l’étranger, « de for et ban » : hors du ban, hors de la loi) sont des pirates qui se livraient à des expéditions armées sur mer pour leur propre compte, sans lettre de course (de marque).
Le terme boucanier vient du mot boucan issu d’un dialecte des indigènes des Caraïbes. Le boucan est une technique de fumage de la viande et du poisson.
A l’origine, les boucaniers sont des coureurs des bois de Saint-Domingue qui chassaient les bœufs sauvages pour en boucaner la viande, c’est-à-dire la sécher à la fumée sur le boucan. Par la suite, le terme de boucanier a désigné un écumeur de mer, un pirate, après que les boucaniers se soient associés aux flibustiers sous le vocable de « Frères de la Côte ». Il s’agit alors d’aventuriers, corsaires ou pirates, qui vivaient essentiellement du produit de leur chasse et de contrebande.
Remarquables chasseurs, les boucaniers étaient aussi très à l’aise sur un bateau. De constitution solide et bien nourris ils étaient de redoutables combattants. Par ailleurs, ils étaient tous porteurs d’un fusil de quatre pieds de canon appelé le « fusil à giboyer », de qualité inégalée. La précision de leur tir permettait aux flibustiers de supprimer à distance une bonne partie de l’équipage adverse, ce qui évitait l’abordage ou à se risquer trop près des canons ennemis. Ces fusils se chargeaient d’une manière exceptionnellement rapide pour l’époque et pouvaient tirer trois coups pendant qu’un fusil militaire n’en tirait qu’un seul. La poudre, de première qualité et également fabriquée tout exprès pour eux, venait de Cherbourg ; on l’appelait « poudre de boucanier » et elle se conservait dans des calebasses ou tubes de bambou bouchés à la cire.
Organisés en marge de la société, les boucaniers vivaient retirés, mais non en autarcie. Ils étaient bien introduits dans le marché économique, vendant viande, cuir et tabac, tandis qu’ils s’approvisionnaient en armes, munitions, vêtements et autres. Certains d’entre eux développèrent même leur propre réseau de correspondants en Europe, avec des associés ou des parents, devenant ainsi de véritables entrepreneurs de chasse. Très solidaires entre eux, ils n’eurent jamais de chefs ni de protecteurs.
L’arrivée d’un grand trois-mâts dans la cité portuaire de Trède va bousculer la vie de ses habitants, et notamment celle de Thibault. De caches secrètes en message codé, le jeune garçon va retrouver la piste d’un lointain pirate. Aux côtés d’Alastar, il va vivre la plus grande aventure de sa vie. La plus dangereuse aussi. Au milieu d’une mer en furie, sillonnant entre icebergs et banquise, les deux héros se lancent dans une étourdissante chasse au trésor.
Mais sont-ils les chasseurs ou les chassés ?
Tour à tour mercenaire au service du plus offrant, détrousseur de bourgeois trop fortunés ou chasseur de primes inlassable, Alastar n’avait de cesse de parcourir le monde, brûlant son existence par les deux bouts, vivant chaque journée avec intensité, comme si elle devait être la dernière. Ni pauvre ni riche, il s’arrangeait toujours pour ne manquer de rien, mais n’avait cependant jamais un sou vaillant en poche, dilapidant son argent dans l’alcool, les femmes et le jeu. Un homme tel que lui ne pouvait pas laisser passer l’occasion de s’infiltrer dans le vaisseau de l’un des forbans les plus fameux de tous les temps : Lothaire le Lapidaire.
Au XVIIe siècle, sur la mer des Caraïbes, le capitaine Henri Villon et son équipage de pirates luttent pour préserver leur liberté dans un monde déchiré par d’impitoyables perturbations temporelles, Leur arme: le Déchronologue, un navire dont les canons tirent du temps. Qu’espérait Villon en quittant Port-Margot pour donner la chasse à un galion espagnol? Mettre la main, peut-être, sur une maravilla, une des merveilles secrètes, si rares, qui apparaissent quelquefois aux abords du Nouveau Monde. Assurément pas croiser l’impensable: un Léviathan de fer glissant dans l’orage, capable de cracher la foudre et d’abattre la mort! Lorsque des personnages hauts en couleur, au verbe fleuri ou au rugueux parler des îles, croisent objets et intrus venus du futur, un souffle picaresque et original confronte le récit d’aventures maritimes à la science-fiction. De quoi être précipité sur ces rivages lointains où l’Histoire éventrée fait continûment naufrage, où les marins affrontent tous les temps. Car avec eux, on sait: qu’importe de vaincre ou de sombrer, puisque l’important est de se battre!
Lorsque Caboche, après s’être enfui de l’orphelinat militaire, part à la recherche de son père, il ne s’attendait certainement pas à rencontrer la compagnie de L’Escroc-Griffe et encore moins à monter à bord de leur bateau !
Connu pour n’avoir jamais réussi un abordage, l’équipage de Bretelle, vieux capitaine désabusé, ressemble plus à la troupe d’un cirque qu’à une bande de pirates.
Mais Caboche va les entraîner dans un voyage rocambolesque sur les Mers Turquoises, à la recherche d’un trésor mythique. Une quête dangereuse puisqu’ils sont pourchassés par l’invincible et immortel Amiral-Fantôme, et qui les mènera jusqu’aux confins du Monde-Fleur, aux abords des mystérieuses Terres Interdites..
Imaginez que les légendes qu’on vous contait enfant existent réellement. Imaginez qu’il n’y ait pas de Dieu unique, mais bien des peuples fantastiques qui préservent l’équilibre du monde. Imaginez maintenant qu’on s’en prenne à ces créatures et qu’on tente de subtiliser leurs pouvoirs pour détruire cet équilibre. L’aînée des trois s urs-fées a disparu et les Tulann de Brekor, une caste aux sombres desseins, cherchent à mettre la main sur l’émeraude de la forêt pour contrôler la fée verte. Argan Le Mezec, capitaine pirate, est convaincu que son destin est lié à cet objet magique et que son héritage prophétique est de sauver la fée. La voie qu il emprunte l entraînera vers son passé et la mort de sa femme. De l’imaginaire à la mer, ouvrez votre esprit et découvrez la légende d’Argan.
Dans une taverne embrumée de Londres les buveurs de whisky racontent et se racontent. Terribles et drôles, drôles parce que terribles, Les Contes du whisky (1925) marquent l’entrée en littérature de Jean Ray, le ciseleur de cauchemars. Il sont enfin redonnés dans leur version intégrale et originale.
Le » Site enchanteur » est une taverne bondée et enfumée des docks de Londres où gravitent d’étranges personnages, emportés par le whisky » au goût de sang et de larmes ». Ils partagent un festin funeste de pitoyables et effroyables aventures d’errants de la mer. Au rythme des hallucinations et des fabulations, le whisky – feu purificateur – permet de dialoguer avec l’ombre et d’en finir avec l’éteignoir d’existences mornes et répétitives. Ici règne le principe de l’anamorphose : le regard sur les choses et sur soi en sort radicalement changé. Ce premier recueil de contes (1925) a signé l’entrée de Jean Ray en littérature. Il est ici rendu dans sa version originale et intégrale.
C’est en 1718 que Jack devint un pirate des Caraïbes… Il voguait vers le nouveau Monde quand son navire fut attaqué par des pirates. La capitaine lui proposa de mourir tout de suite … ou de devenir l’un d’entre eux. Le choix fut vite fait! Il dut rapidement apprendre à manier aussi bien la grand-voile que le sabre d’abordage. Mais c’est pour sauver une belle jeune fille que Jack allait devoir affronter les plus sinistres dangers: magie vaudoue, zombies, puissances maléfiques et par-dessus tout le terrible Barbe-Noire, à la recherche de la fabuleuse fontaine de Jouvence…
Pangée, terre immense au milieu de l’océan unique, continent de terre sèche et d’embruns où vit le peuple de Ghiom, dont l’histoire, en ce jour de la dixième chasse à l’Odalim, bascule. Les Grands de Pangée ont parlé : le monstre marin doit mourir. Pour la paix. Pour l’ordre. Pour la promesse d’une nouvelle ère faste à venir, dans ce monde rongé par les mésalliances et les guerres fratricides. Pourtant, quand les Nefs s’engagent sur l’Océan, une seule question demeure : si la traque échoue, si l’Odalim survit, si l’union faillit, les enfants de Pangée se dévoreront-ils ? Cette dixième chasse ne serait-elle alors qu’un chant du cygne ?
Si vous en connaissez d’autres , n’hésitez pas à les citer en commentaires ! 😉
Voilà! J’espère que cet article vous a plu. En tout cas, moi, il m’a donné envie d’écumer les mers ou, à défaut, de lire de bons romans qui sentent le sel et les embruns ! 😉
Sans vous divulgâcher mon histoire, une partie de Neph et Shéa se déroule en mer et je compte bien écrire des histoires de pirates. Et vous ? Avez-vous pensé à écrire des romans maritimes ?